Le chemin de fer d’Iran a été inscrit comme le 25ème site culturel matériel de l’Iran lors de sa participation au Comité du patrimoine mondial de l’UNESCO.
Selon « Iran Tripedia », l’Iran a participé au Comité du patrimoine mondial de l’UNESCO avec deux cas, le chemin de fer national iranien et Horaman, qui ont été examinés lors d’une réunion tenue virtuellement dans la ville de Fuzhou, en Chine.
Un représentant de l’ICOMOS (Le Conseil international des monuments et des sites), qui est l’organe consultatif et spécialisé de l’UNESCO pour l’enregistrement et la protection du patrimoine mondial, a fait l’éloge de la valeur culturelle et historique du chemin de fer national iranien et a suggéré un examen « différé » du cas pour plus d’informations. (Après l’amendement, le cas pourrait être soumis à nouveau à la réunion dans deux ans).
Malgré cela, lors du sommet, les représentants de la Norvège, de l’Australie, de l’Ethiopie, d’Oman, du Brésil, de la Russie, de l’Espagne, de l’Afrique du Sud, de l’Ouganda, de la Thaïlande et de la Hongrie, soutenant le point de vue de l’ICOMOS sur les corrections, ont qualifié le chemin de fer national iranien de merveille d’ingénierie. Ils ont souligné l’importance historique de ce chemin de fer dans l’échange économique et international de marchandises et la communication entre la mer Caspienne et le golfe Persique et ont soutenu son inclusion dans la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO.
L’importance de l’architecture le chemin de fer d’Iran a été soulignée et considérée par les pays présents à la réunion du Comité du patrimoine mondial de l’UNESCO.
Le représentant de la Chine a également noté qu’il avait bien étudié le dossier, déclarant que le dossier avait les critères 2 et 4 pour l’inclusion dans la liste du patrimoine mondial de l’UNESCO. Cependant, les experts de l’ICOMOS ont souligné que le dossier du chemin de fer d’Iran ne répond pas à ces critères pour une inscription globale.
Ahmad Pakatachi, ambassadeur et représentant de l’Iran auprès de l’UNESCO, a également remercié l’ICOMOS pour ses efforts et les pays qui l’ont soutenu et a déclaré : « Nous utiliserons toutes les suggestions pour mieux protéger ce patrimoine et nous sommes prêts à coopérer davantage avec l’ICOMOS et le Centre du patrimoine mondial » et sont prêts à apporter toutes les clarifications sur le cas. « Nous utiliserons toutes les propositions pour mieux protéger ce patrimoine, et nous sommes prêts à coopérer davantage avec l’ICOMOS et le centre du patrimoine mondial, et prêts à apporter toutes les clarifications sur cette affaire », a-t-il déclaré.
Il a également souligné : « Comme Le chemin de fer d’Iran est l’un des sites inscrits sur la liste des monuments nationaux et qu’il fonctionne en même temps selon les lois actuelles sur les chemins de fer, toute action et interférence dans ce domaine nécessite des autorisations légales de plusieurs organismes. »
Le représentant de l’Iran auprès du Comité du patrimoine mondial de l’UNESCO souligne : « Nous avons un plan pour protéger ce chemin de fer, et deux ministères – celui des routes et du développement urbain et celui du patrimoine et du tourisme – sont impliqués dans la protection du chemin de fer d’Iran. » La protection nationale de cet ouvrage est garantie.